Émilie prend une boite de croquette pour chat, l'ouvre jette de vieille croquette qui sont dans un bol dans la poubelle, puis donne un coup d'eau chaude dans le bol rouge où est écris « Merveille », le pose sur le plan de travail de la cuisine et met de nouvelle croquette dans le bol.
Elle repose le bol par terre à côté du bol à eau.
Elle va jusqu'à sa chambre, s'assoie doucement sur son lit puis pose sa main sur quelque chose et le caresse avec délicatesse de haut en bas dans le bon sens du poil, c'est son son chat en peluche.
tu ne mange plus énormément dit-elle. Je m'inquiète.
Elle s'allonge à la verticale de son lit et tend son bras pour continuer a caresser le chat. Tout en continuant les mouvements de haut en bas, elle lui raconte sa journée.
Aujourd'hui tout c'est super bien passé ! Dit-elle d'une voix gai.
Émilie, dans sa voiture, lis l'horoscope du journal gratuit distribué lors des feu rouges. « Balance : aujourd'hui, à parts quelques grabuges garder le sourire ». Les autres voitures klaxonne, car le feu viens juste de passer au vert, «Oups pardon, pardon» répète t-elle mais avec joie. Elle sort de sa voiture, rentre dans un bâtiment, c'est un supermarché, elle va à son casier met ses vêtements de travail et rajoute sur son gilet une étiquette où son prénom est.

Une femme l'appel, c'est la patronne, elle lui demande de venir dans son bureau dès que possible, Elle y va donc, en frappant à la porte.
Rentrer, rentrer et installer vous.
Dit la patronne installer dans son siège en montrant de la main la chaise en face d'elle.
La directrice lui dis quel est licencié parce qu'il n'y a plus de sous pour les petits job d'étudiant, les besoins doivent être réduit et tout un tas d'explication qu'elle n'écoute pas, juste des lèvres qui bouges.
Émilie comprend est repars avec le sourire en serrant la main de la patronne. La patronne est aussi très satisfaite que ce soit aussi bien passé, quand Émilie referme la porte la patronne raye son nom sur une longue liste de personne à renvoyer.
Émilie en rentrant chez elle, voit une jolie pâquerette sur le côté de la route c'est comme ça qu'elle encastre sa voiture sur un arbre. Heureusement la pâquerette n'as pas était touché, elle ce baisse est prend la fleur pour sa voiture derrière elle, elle l'accepte et souris. Elle reste heureuse, elle garde confiance au prédiction car
Tu vois Merveille l'horoscope l'avait prédis.

Aujourd'hui, comme elle n'as plus de voiture elle prend le tram pour allez à la fac. Comme chaque jour, elle prend le journal, le récupère dans les bacs où y sont installé les journaux.
En attendant le tram elle lis son horoscope :
« Garder l'œil et le bon car aujourd'hui c'est l'amour que vous allez rencontrer, ce sera un bon moment pour entreprendre ces changements ».
Elle descend un peu son journal et voit là un beau jeune homme à l'arrêt d'en face, habillé en petite chemise blanche à manche longue et pantalon de ville noir.
C'est évident c'est lui, c'est pour ça qu'elle laisse tombé son horoscope et le suit jusqu'à son travail.
Il travail avec soin, tape sur son clavier de banquier avec aisance, remet un peu sa cravate qu'elle perçoit d'une façon sensuel, et reçoit les gens avec un grand sourire charmeur. Émilie en est jalouse. Il mange dans un restaurant et demande une salade composé, le plat du jour et un crème au chocolat, elle prend la même chose. Elle s'imagine lui donné des bouchés de son repas en lui tenant sa fourchette, l'un en face de l'autre comme deux amoureux, entrain sourire et rigoler tout les deux grossièrement.

Elle le suit jusqu'au supermarché, le regarde faire ses courses, elle ce voit encore elle et lui décidaient du papier toilettes lui tenant deux marques différentes en faisant semblant de pesé le pour et le contre avec ses mains comme une balance, ainsi que pour le repas de ce soir entre des spaghetti et des farfalle, puis entre du jus d'orange et du jus de pomme. Et, elle, elle craque pour de nouveaux verres assortis pour faire plus couple qu'un couple puis quand elle voit une poussette, ce réveil et pense avec plein d'envie en ce tenant la tête rêveuse au future.

Il empreinte une petites rue pour prendre le tram, il attend devant l'arrêt, regarde dans combien de temps le tram arrive puis sort ses mains de ses poches pour regarder sa montre, et les remets.
Le transport est arrivé, il ouvre la porte, rentre, elle le suis quelque pas derrière lui à une autre entrée.

Après être sorti du tram, le voilà à ouvrir la porte de son appartement, il rentre et referme derrière lui. Elle attend, regarde la sonnette 'Léo Stelle' puis met des gants, rentre discrètement mettant la main sur la porte pour éviter quel grince et la referme.

Lui est sous la douche, pendant ce temps elle va dans sa chambre, regarde dans ses placards, prend une chemise a lui et la sent, la repose songeusement comme si elle n'y avait jamais touché. Elle se couche ensuite en plein milieu du lit puis prend le coussin pour encore une fois sentir l'odeur et ressentir la présence de 'Léo'.
Elle retourne dans la salle principal et regarde les photos qu'il a sur son meuble, laisse son doigt glisser son doigt pour s'arrêter sur une photo avec lui, puis la prend dans ses mains pour la voir de plus près, caresse du bout des doigts deux ou trois fois l'endroit où il ce trouve sur la photo, puis la met dans sa poche.
Elle s'assoit ensuite sur la chaise de bureau, regarde en bas du bureau et quand elle emmène sa main vers l'interrupteur pour allumer l'ordinateur, la douche ne coule plus depuis un moment et la poignée de la porte commence a faire du bruit alors Émilie ce met très rapidement sous la table caché sous une longue nappe de table.
Un téléphone sonne, Léo décroche.
Allo ?
Il est tout près d'elle, elle vois ses pieds nu, elle est si heureuse.
Oui, chérie, qu'est ce que tu fais ?

Émilie ne comprend plus, elle commence a trembler, lui s'éloigne il part dans sa chambre. Son esprit est dans le vide, elle se met instinctivement à envoyer un message « 71305 Alice voyance » elle ce dis que ce qu'elle voit n'est qu'une hallucination, elle veux vérifie par les voix les plus impénétrable. Elle tiens fort son portable tremble attend la réponse.
« Le passage de la Lune vous obligera à vous poser des questions sur l'honnêteté ou l'intégrité d'une personne de votre entourage. Pour sauver vos relation ne canalisé plus votre énergie ! »
Elle sort la photo qu'elle avait de lui, et s'aperçoit juste qu'il tenait une femme par la taille, elle commence alors a ne plus «canalisé son énergie », elle tremble énormément à serrer les dents en tenant la photo puis ce lève, sort de sa cachète, et cette journée intense défile dans ses pensées de la première fois où elle la vue jusqu'au photo qu'elle a vu en passant par leurs course ensemble.
Elle va jusqu'à la chambre déterminé a sortir de ses gonds, il est couché mais pas entrain de dormir, il ce lève, il est juste en caleçon.
Vous faites quoi chez moi ?
Elle commence à pleurer et l'insultant en répétant « pourquoi », « pourquoi elle » ou « pourquoi me faire ça à moi ».
Il est surpris, ne comprend, à les yeux bien ouvert, le regard remplis d'incompréhension, il va vers elle et essaye de le faire sortir de chez lui, l'emmène vers la sortie, il lui dis qu'il ne la suit pas.
Elle le pousse de quelque centimètre puis elle l'assomme, lui donne un coup avec le cadre de la photo sur la tête.
Il tombe sur le sol, sa tête donne deux coup sur le sol avant de tombé définitivement, les yeux ouverts.

Elle inspire un grand coup, les yeux fermé, les bras tombant faisant le vide autour d'elle puis elle pose sa veste calmement sur une chaise et commence a prendre avec sérénité une jambe puis une autre de Léo, pour, en le tirant sur le sol, le ramener sur son lit, elle arrive à le mettre avec difficulté et lui remet la couette pour qu'il dorme paisiblement, du sang commence à imprégner le coussin.

Puis elle recherche une serpillière et commence à laver la scène du crime, en gardant encore beaucoup de tranquillité. Dans la salle de bain, elle enlève ses gants les jettes dans un sac en plastique et lave ses mains minutieusement, frotte fort un par un sur tous ses doigts et entre ses doigts puis fait la même chose sur son visage. Elle remet des gants et enlève sa chemise pleine de sang et la met directement dans le sac.
Elle rentre dans la chambre, ouvre le placard de vêtement où ce trouve la chemise qu'elle avait senti, puis la met, le coussin est remplis de sang.
Elle retourne dans la salle de bain met le parfum de Léo, elle met le col de la chemise sur son nez le sent puis souris satisfaite.

Émilie ce met dans le lit, sous la couette, en ayant pris le soin d'enlever ses chaussures, puis embrasse le mourant sur la joue :
« Désolée chérie pour tout à l'heure, je me suis emporté, mais je suis facilement jalouse, tu sais ce que c'est une femme, hein ? 
Je vais y allé le soleil c'est levé et je peux pas loupé un autre jour de cours.
Toi dors tu n'as pas l'air d'être bien»
Elle l'embrasse une nouvelle fois en caressant avec plein de douceur son visage.

Elle récupère sa veste sur la chaise et la met, prend le sac en plastique d'une main, avance vers la porte d'entrée puis avec l'autre main tiens la poignée et inspire un bon coup en fermant les yeux avec un sourire qui montre bien sa bonne humeur. Elle regarde une dernière fois l'appartement :
J'y vais

Elle jette le sac ainsi que ses gants, dans une poubelle un peu plus loin et retourne au tram. Puis comme a son habitude elle prend l'horoscope, le lit concentré jusqu'au moment où elle ce fait bousculer par un homme.
Elle laisse tombé le journal, puis commence a mettre des gants et suis les pas de l'homme, aujourd'hui son horoscope est :

« Si vous devez aimer c'est le bon jour, un inconnu va vous séduire laissé le faire car ce sera surement le bon »