| | [Fanfic] La dernière nuit de la faucheuse /!\déconseillé aux âmes sensibles/!\ | |
| Auteur | Message |
---|
MD1991Reine du host club Ogurinien
| Sujet: [Fanfic] La dernière nuit de la faucheuse /!déconseillé aux âmes sensibles/! Mer 9 Juin - 19:24 | |
| Et voilà je poste ma deuxième fanfic (même si j'ai pas finis l'autre xD) /!\je l'a déconseille aux âmes sensible/!\, petit à petit il y aura sans doute des précisions assez sanglante. Il ce peux que je mette très longtemps avant de sortir la suite vu que j'ai pas toujours l'inspiration, le temps ou tout simplement la flemme d'écrire (la dernière proposition et la plus réaliste) . . . Je m'excuse d'avance pour les fautes que j'ai laissé T.T Titre : La dernière nuit de la faucheuse Genre : Thriller, horreur Personnages : Yuu Yokoyama, le Visage, Nagase Tomoya, Taichi Kokubun. Kitagawa Keiko, Masami Nagasawa, Ryuhei Maruyama, Shibutani Subaru, Ryo Nishikido Résumé : Yuu tremblant de peur ce retrouve dans le commissariat de la préfecture de Yamanashi inculpé du meurtres de 5 amis à lui, pourtant il est sûr que ce n'est pas de lui ce carnage mais du VisageChap 1 : le Visage - Spoiler:
Comment je me suis retrouver là, dans cet pièce obscure ? pourquoi ai je pieds et mains liés sur une chaise ? pourquoi je suis seul dans cet endroit ? Je transpire énormément, ma chemise blanche est tremper par la sueur et de mes cheveux brun tombe des goutes d'eau jusqu'à mon pantalon. J'ai la tête baisser, une goutte traverse mon nez, le rythme de ma respiration est saccadée, je reprend petit a petit mes esprits, j'ouvre mes yeux difficilement, je sais que je saigne sous la paupière parce que un peu de sang tombe jusqu'à ma lèvre, sans le vouloir vraiment je le goute, j'ai le gout de mon propre sang dans la bouche. Il y a peu de rayon qui s'échappe de dehors et qui rentre dans ce garage mais cela ne me rassure pas non plus, car je peux apercevoir de longue trace de sang sur le sol gris, quelques vieux meuble où il y a des cordes et un couteau poser dessus, il y a d'autres objet mais je ne vois pas de là, j'aperçois quelques ombres au bout mais je ne distingue pas vraiment ce que sais, j'aimerais bien savoir mais peine perdu il fait trop sombre et d'un côté le savoir me terrifie. J'entends des bruits le premier est le bruit d'un interrupteur un peu de lumière sort du bas de la porte, mais il y a aussi un autre bruit plus répétitif et qui ce rapproche, ce sont des pas, quelqu'un viens pour me sauver ? la porte grince et s'ouvre calmement laissant échapper de la lumière de l'autre coté, j'ai mon cœur qui bat je suis entre la peur et la joie, la joie que ce soit quelqu'un qui viennent m'aider et la peur que ce soit la personne qui m'a attaché ici. Enfin un visage apparait avec une lampe torche qui éclaire un peu de la pièce, ce visage me parle en changeant très facilement d'humeur de l'humour noir à la rage, c'est certain il n'est pas là pour me sauver, j'en suis encore plus effrayer : -Alors le prince charmant, tu viens de te réveiller. Tu en as mis du temps ! Le visage ce rapproche de moi, il est vraiment prés, pourtant je ne vois rien de lui, il ce baisse à ma hauteur et penche sa tête extrêmement à droite. - Tu sais, je ne sais toujours pas ce que je vais faire de toi. - Pourquoi suis je ici ? Dis-je affolé, - Tu te moque de moi ! Tu veux rire ! Le visage est de plus en plus près de moi à quelques centimètre, il me prend violemment par les cheveux et emmène ma tête vers l'avant avec rage, la lâche, me gifle et me jette vers l'arrière, je tombe avec la chaise les pieds en l'air et le cranes qui rebondis sur le sol. Le visage fais mille et un pas avant d'arriver vers moi, je ferme les yeux pour ne pas sentir et voir ma futur douleur mais contrairement à ce que je peux croire je ne me fait pas frapper, le visage à enfaite remonter ma chaise en murmurant quelques trucs par ci par là : -Non ***, il avait l'air de prononcer son prénom mais je n'arrivais pas à l'entendre, tu ne dois pas faire ça, pas maintenant ! je ne doit pas te faire mal, pas comme ça ! Tu ne le sais peut être pas mais j'avais rien prévue avant de te rencontrer, c'est toi qui est venu à moi. Alors maintenant c'est à toi de décider de ton sort. Et le visage éclaire avec sa lampe le coin qui n'était avant pour moi qu'une ombre impossible à distinguer est maintenant devenu un corps fraichement pendu. Mes yeux écarquillé devant cet horrible cauchemar, regardant ce corps qui flotte, je me rappelle enfin de ce qui c'est passer : ma mémoire est revenue. C'est lui, le meurtrier est devant moi ! ----------------------------- Yuu Yokoyama né le 9 mai 1981 à Osaka inculpé le 13 Aout 2009 à 1 heure du matin pour le meurtre de 5 personnes : 2 femmes Kitagawa Keiko, Masami Nagasawa et 3 hommes Ryuhei Maruyama, Shibutani Subaru, Ryo Nishikido. Il a été retrouvé dans la forêt d'Aokigahara par un villageois, à 11 heure le 12 Aout du soir évanoui avec plusieurs tâche de sang de la tête au pied ainsi que divers éraflure. Le suspecte est interrogé par les inspecteurs de la Police criminel de la préfecture de Yamanashi : Nagase Tomoya et Taichi Kokubun.- Tu sais des ordures comme toi on en vois pas si souvent ! Ici c'est plutôt les suicides. Tu as tué 5 personnes, et toutes dans des souffrances atroces, pourquoi à tu fais ça ? qu'elles sont tes motivations ? J'imagine qu'il en faut pour tué autant de gens. Comment à tu fais ça ? Tu avais prévu ton coup ? Dis nous tous ! Le suspect avait l'air affolé, il ne comprenait pas ce que cet homme voulais dire, comment ce fait-il qu'il était dans un commissariat, dans une pièce close au tons grisonnant qui renferme une certaine angoisse coupable ou non ? il ne ce souvenait de rien, ni de ce qui c'était passé ou encore à quel moment il c'était évanoui. Il savait juste qu'il y avait deux hommes qui lui posé des questions dont il ne comprenait pas la signification, il ne savait même pas quoi répondre, de toute manière il n'arrivait même pas à parler. Alors quand l'homme qui l'avait traité d'ordure n'eut toujours pas ses réponses il commença à s'impatienter et ce rapprocha de son visage avec un regard menaçant pouvant faire peur à n'importe quel personne quel soit yakuza, pédophile, meurtrier, ou juste voleur de mobylette. - OH ! Tu répond putain de meurtrier ! - Tomoya calme toi ! lui dis son coéquipier en lui conseillant de s'assoir. Comme tu as du mal à t'en souvenir je vais t'aider. Première victime : Kitagawa Keiko 22 ans abattu grâce à un objet contondant reçu au niveau pariétal du crâne. Yuu commença à ce tenir la tête avec force, alors que l'inspecteur Kokubun continué de lui montrer les photos des victimes avant et après leurs décès, en précisant leur age et leur mort, avec de plus en plus d'insistance : - Deuxième victime : Maruyama Ryuhei 27 ans tué de 3 coups de couteau. Alors que Yokoyama continua à maintenir son crâne avec force, que le première homme commença à passé à la 3 ème victime et que le second avait un sourire mêlé entre le dégout et la satisfaction d'avoir trouver un parfait meurtrier, il ce mit à parler ou plutôt à bafouiller quelques phrases entre deux respirations de malaise et de spasme : - "rouge écarlate" . . . "il devait ce taire" . . . c'est pas moi, j'ai rien fait . . . "1 et 2 et 3 coup" . . . je le vois, ce n'est pas moi, il n'a aucune pitié . . . "qu'est-ce ce t'as fait ?" Ce remémorait il de quelque chose alors qu'il pleurait à chaude larme son corps tremblant de frayeur ?
Chap 2 : le temps suspendu - Spoiler:
- Ma-sa-mi, dit-il d'une façon joyeuse tout en balancent le corps suspendu à une corde. Mince, je crois qu'elle n'arrive plus à répondre. Quel dommage j'avais plusieurs question à lui poser, comme eeuh . . . comme euuh . . . - Pourquoi l'avoir tué, pourquoi elle ? Vous êtes fou !
Mes larmes commença à tombé, la personne que j'avais de plus précieux au monde, pourquoi est elle morte ? J'essaye de toute mes forces de me sortir de là, je veux qu'il paye pour ça, elle n'as jamais rien fait de mal, pourquoi l'avoir choisie, pourquoi ne pas m'avoir assassiné directement ?! Ce psychopathe veux que je souffre !
- Tu m'as interrompu !
Il sort de la salle en laissant la porte ouverte très vite, j'essaye de me débarrassé des cordes qu'y sont sur moi mais il reviens avec un objet aussi vite qu'il n'est partie, il lui fallu moins de quelques secondes, et ce rapproche de moi d'un air féroce tenant fortement son objet. C'est quand il me gifle avec que je comprend que c'est un livre, c'était épais sans être vraiment dur.
- UN LIVRE SA T'APPRENDRAS A T'INSTRUIRE! L'on ne t'as jamais appris qu'il ne faut jamais interrompre une personne. C'EST MAL-PO-LI ! ! !
Puis il reprend son monologue très calmement, comme si rien ne c'était passé que je ne lui avais pas couper la parole et qu'il ne s'était pas énervé à peine 2 secondes avant, tout en retournant vers le corps de Masami joyeux comme en enfant rentrant chez lui, il me dégoute au plus haut point. Il ce pose juste devant elle et lui relève la tête pour la regarder droit dans les yeux, mais le fait que ses paupières soit fermé ne le gène pas plus que ça.
- J'en étais où ? ah oui ! J'avais des questions à lui poser comme : pourquoi devenir d'un seul coup lesbienne alors qu'elle étais avec toi ? Pourquoi ? Pourquoi dit il ça ?
- Tu as l'air surpris. Pourtant c'est pour ça que je suis là. Tu ne te souviens pas ? Son visage était si beau quand elle sentait que je la dominais, on voyait en elle tout la frénésie de la peur sur son joli minois. «Arrête, s'il te plait arrête!» qu'elle me suppliait tout en pleurant, je suis sûr quel a vu sa vie ce déroulé quand j'ai commencer à l'étrangler. Mais, elle c'est elle même coincé, plus j'avançais et plus elle reculait sauf qu'au bout d'un moment il y a un mur et là hop je pris fortement son petit coup dans mes mains. J'ai l'impression qu'elle n'avait jamais vu de film d'horreur pour reculer comme ça, sinon elle aurait su que c'était voué à l'échec de faire ça, et elle aurai laisser mes mains l'achever. Ah pour ce débattre elle ce débattait . . . Tu m'écoute ? Je sens bien que tu as lâché la conversation. Tu es distrait. Tu as peut-être soif ? Je reviens je vais te ramener de l'eau. Il est effectivement allé me chercher de l'eau, mais pendant le temps qu'il n'était pas dans la pièce, je n'ai pas pensé une seconde à fuir, j'étais rester juste anéanti par le fait que la personne pendu était celle que j'aimais le plus au monde. La tête baissé la bouche ouverte laissant sortir un filé de bave, je n'arrive même pas à envisager de refermer mes lèvres, mes yeux dans le néant qui regarde instinctivement le coulé de ma salive qui tombe sur le haut de mon pantalon, mes larmes coule un peu, je veux juste en finir. Je voudrais qu'il me tue au plus vite pourtant ce n'est pas de son avis, quand il reviendras avec un verre à la main je serais obligé d'écouter la moindre de ses paroles sur la mort de celle dont j'étais fou. Le voilà qu'il arrive, avec un bol d'eau.
-Si tu as soif il faut te faire tombé de la chaise ensuite, et bien tu devras boire comme les chiens mais c'est mieux que rien. Désolé c'est la seul solution que j'ai trouvé. Moi je me suis pris un verre mais j'en ai bien plus besoin que toi, parce que j'ai plein d'histoire merveilleuse à te raconter, donc je ne peux inévitablement pas m'en passer! Tu ne m'écoute toujours pas ? Comment je vais faire pour que tu me regarde, parce que la tu as l'air dans ton propre monde.
Il prend le bol d'une main et d'une autre soulève ma tête avec en tirant mes cheveux vers le bas de mon dos, j'ai l'impression de ne rien sentir, pourtant quand il m'envoie d'un coup l'eau sur la tête, je me réveille malgré moi.
-Ah enfin je vais pouvoir continué à te parler. Tu sais je voulais te raconter tout mais est-ce que tu supportera ? Je pense que te toute manière c'est déjà foutu, alors je peux reprendre mon histoire mais tu m'écoute ! d'accord ? je m'en fiche que tu pleurs, que tu cris ou encore que tu te vomisse dessus si c'est trop éprouvant mais je veux que tu entendes ce que j'ai à te dire du début, jusqu'à la fin !
Il me regarda et me demanda ou l'on en était, je me demande si cette question n'étais pas pour lui ? Puis après avoir trouvé il repris :
- Elle commença à me supplié, puis, elle ce mis à essayer désespérément d'enlever mes deux mains, mais malgré quelle ne soit pas très grande elles peuvent serrer très fort regarde.
Puis il commença à m'étrangler pendant les quelques secondes les plus longues de ma vie, je cherche mon souffle et j'essaye de l'arrêter en le prenant par les bras mais j'ai l'impression qu'à chaque fois mes mains moite glisse sur sa peau, je n'arrive pas à l'enlever, je n'y arrive pas ! Puis au moment où je croyais tout abandonné et juste mourir, il me lâchât :
-Oui c'est ça ! elle a fait quasiment la même chose, à part qu'elle avait plus d'entrain à le faire, peut-être qu'elle tenait plus à sa vie que toi à la tienne ? Est ce parce que tu te sent fautif de son malheur . . . de sa mort ? Regarde là : maintenant elle rêverait ce sus-PENDRE à la vie . . . MOUHAHAHA . . . tu ne rigole pas ? RIGOLE ! c'est un jeux de mot !
Ce déranger pleuras d'une force incroyable en riant en même temps, puis s'arrêta en seul fois.
-Essaye de faire au moins ça. Non tu ne veux pas, aucune compassion pour ton ex ! Bon je continue, tu voudrais peut-être savoir pourquoi je l'ai pendu juste après l'avoir étrangler ? Je ne sais pas vraiment, je pense, mais je ne suis pas sûr, que c'est parce que tu tenais à elle, tu aurais voulu la voir morte naturellement ou d'elle même, et pas d'une personne comme . . . moi ? Mais bon comme il est très dur de retraçait le cerveau humain d'un déséquilibré je classerai ça en «hypothèse». Ne t'en fais pas je te met dans le même paquet ! Je dirais que tu es même pire que moi parce que tu n'as rien fais pour m'arrêter et en plus tu t'es évanoui juste au deuxième act. Ce qui est dommage car tu as rater le plus intéressant !
|
| | | MD1991Reine du host club Ogurinien
| Sujet: Re: [Fanfic] La dernière nuit de la faucheuse /!\déconseillé aux âmes sensibles/!\ Mar 14 Sep - 17:22 | |
| Chap 3 : Présumé coupable - Spoiler:
- Putain de psychopathe ! Toutes les preuves sont contre toi, et toi tu nie ?! Sous la colère l'inspecteur Tomoya, ou juste pour intimider, jeta avec le pied la chaise qui était à côté du coupable le faisant encore plus trembler d'angoisse, il était comme un enfant perdu, et de peur il laissa échappé un "ah" de frayeur. - Tomoya, viens voir deux secondes. Tu veux un café, un thé, des nouilles chinoises ou autre chose ? Tu reste sage, on revient. Yuu ne répond pas, il ne ce rend même pas compte qu'on lui a parlé, tant pis Taichi emmène Nagase hors de la salle vers le premier distributeur de boisson pour lui parler discrètement de son comportement. - On est pas dans un film. Je sais que tu veux qu'il avoue mais tu utilise là le meilleur moyen de le braquer sur lui même, de toute manière je pense qu'il ne ce dénonceras jamais comme ça. Taichi met quelques pièce de monnaie pour prendre un café. - Alors comment on fait ? Il regarde attentivement que la machine lui donne le droit de prendre sa boisson - Il faut l'emmené à l'évidence que c'est lui le coupable. Il récupère le café le pause à côté de son collègue sur une tablette à sa droite et recommande la même chose au distributeur. Alors que Nagase allume lui une cigarette, Kokubun le regarde, il lui montre le panneau d'interdiction de fumé, il râle un peu mais l'éteins puis la remet dans son paquet, quand Kokubun s'apprête à mettre encore d'autres pièces, après avoir récupéré le 2eme café, il s'arrête juste avant : - tu en veux un ? - non, ça ira. Continu. Il remet ces sous dans sa poche et continu son histoire : - On va allez dans son sens au début mais lui montrer que son sens c'est pas le bon, le faire peur ne servira à rien parce qu'il est sur d'avoir raison. - Comment ça ? Il lui met le café près de lui pour qu'il le prenne sans pour autant lui passer. - Il est a toi ce café ? - Non. Pourquoi tu me dis ça ? - Ah ok, mais tu as bien un café dans la main, non ? - Oui et alors ? - Il est donc à toi ? - Non, pourquoi tu me fais chier avec un café. Il insiste encore tout en restant le plus calme possible. - Pourquoi tu l'as dans la main alors? - Pfff... Parce que tu me l'as passé. - Tu es sur ? Et tu vraiment sur de toi ? - Oui... eeuh du moins non, il était a côté et je l'ai pris, mais ça change rien sur le fais que tu ne m'as toujours pas raconter la suite. - Ça veux dire qu'il est à toi. - Mais putain non, il est pour l'autre psychopathe ! - Quel autre psychopathe, il y a personne d'autre ici. - Arg ! Ok il est moi ce café de mes deux, maintenant tu vas arrêter ! - Donc tu as avoue. - Oui il est à moi, il est à moi OK ! OK ! ! ! c'est finis. - Tu vois, tu as avoué alors qu'au départ tu disais que non alors que si je mettais énervé tu m'aurais ou collé un pain ou tu te serais braqué pour ne plus dire un seul mot, on va le faire aussi calmement à la grosse différence près c'est que toi tu es toujours convaincu qu'il n'est toujours pas à toi, même si pendant un moment tu as hésité, à la fin on devras lui faire dire que c'est lui et en plus il s'en rendras compte, grâce au même moment d'hésitation que tu as eu. - Qu'est ce que je fous là, alors ? Tu sais très bien qu'avec au tant de meurtre je peux pas m'empêcher de perdre la boule ! - Eh bien tu lui as déjà fait peur, il récupéra le gobelet, il a une frousse atroce de toi, regarde le, continue à le regarder tout ce temps, il aura l'impression de ne pas pouvoir s'enfuir. - Il ne peux pas s'enfuir ! - Non je parle mentalement. Ils retournèrent dans la salle Tomoya en premier qui reprit la chaise qu'il avait fait tombé et s'assit dessus d'une manière la plus dominante possible en regardant intensément le coupable, comme l'avais insinué son sempai. Puis rentrât Taichi, avec les 2 gobelets, il mit un juste a côté de yuu alors quand l'inspecteur lui dis "tu en veux ? Tu as peut-être soif ?" il ce mit à ce crisper, et ce remis à divagué très rapidement " non je veux pas écouter votre histoire ... boit ! BOIT !" -Calme. Calme toi. On va pas t'obliger à boire, soit tranquille. Et puis ici, c'est nous qui avons besoin d'écouter ton histoire. Racontes-nous. Est-ce toi qui as tué tout le monde ? Encore à trembler yokoyama ne faisait que, comme au début, de répéter que ce n'était pas lui. - Mais c'est qui alors ? dis moi. - ce n'est pas moi . . . ce n'est pas moi. sa tête s'agitait sans cesse de gauche à droite qui frôlé exagérément son poignet comme s'il voulait avec sortir ou exploser son cerveau et entre 2 deux ou 3 frôlements il regardé dans la direction de Nagase avec frayeur mais avec une tel insistance qu'il y avait autre chose, il y avait quelques chose d'autre, si Taichi ne le remarqué pas Tomoya oui. Son regard petit à petit passer du regard effrayant à de l'intrigue avec l'accusé qui était devant lui. - Je voudrais te croire mais qui as tué toutes ces personnes ? aide nous, et nous pourrons t'aider. Il repris les photos, et lui remontrant les étalant sur la table sans dire un mot sur qui et comment mais juste lui demandant encore une fois qui avait fait ça, tout en restant calme du début jusqu'à la fin. - Le visage . . . il va me tuer lui aussi. -Qui c'est le visage ? qui c'est ? - aaaaah ! Il les as tous tués. Il se mit en même temps à mettre plusieurs coup dans le vide vers le bas, alors qu'il appuyait aussi sur son crâne avec la main gauche. Et regarda ensuite la main qui taper indépendamment de son corps, la regarda intensément comme si quelque chose de choquant été dessus et ce remit à crier laissant tombé le café et lui par terre. Bien que Tomoya soit de feu par habitude, il ce laissa emporté par ce spectacle, contemplant toutes la scène du café noir qui goute à goute tombé de la table jusqu'au sol au présumé coupable lui aussi sur le sol roulé en boule agrippant et observant sa propre main. ". . .Tomoya regarde bien, regarde moi bien . . ."
Dernière édition par MD1991 le Dim 18 Sep - 19:44, édité 1 fois |
| | | MD1991Reine du host club Ogurinien
| Sujet: Re: [Fanfic] La dernière nuit de la faucheuse /!\déconseillé aux âmes sensibles/!\ Dim 18 Sep - 19:44 | |
| Chap 4 : L'odeur de la mort - Spoiler:
- En fait, avant de continuer, je suis sûr que tu voudrais que je raconte un peu mieux ce qui c'est passé avec Masami, non? Je continue : Il commençât a avoir un ton fort et exagérer, tout en imitant la scène. Alors que je lui comprimais la trachée, elle commençât à lâcher prise, son cou dans mes mains, ses muscles commençait à ce décontracter et à ce laissé mourir mais je l'ai lâcher avant quel meurs. Ça aurait été trop rapide, trop rapide tu comprend ! Alors elle tombé... et BAM... écroulé, complétement écroulé, comme si elle c'était endormis. Et puis tout d'un coup, elle ce réveillait et elle cherchait son souffle, elle était entrain halluciner complétement. Comme si elle essayait encore d'enlever mes mains de son cou, elle avait la bouche ouverte, son état était le même quand je l'étranglais. Je ne participais même plus au plaisir ! JE HAIS QU'ON ME LAISSE EN PLAN ! Je suis sûr que si je n'avais pas agit elle serait morte comme ça, peut-être de folie ? hihihi... Alors j'ai attrapé une corde, et je l'ai acéré fort jusqu'à que je sente le dessous de la couleur de son coup, la belle couleur rougeâtre puis je me suis arrêter et j'ai fait un nœud coulant ou plutôt un nœud de capucin gansé, tu sais comment on en fait un ? Il me montre fictivement sans même avoir de corde sur lui, il fait d'abord un S avec sa corde imaginaire puis prend la partie la plus courte et l'entour sur ce S en remontant. Quand il finit ses tours il rentre le petit bout dans la petite boucle il sert ensuite la petite boucle. Puis il teste d'une manière imaginaire son nœud autour de son coup - Parfait, il est parfait ! Il reprend et continue a mimer l'histoire. - Quand j'ai fait le noeud et placé la corde il le fallait, elle sais tout simplement endormi. Comment pouvait elle s'endormir définitivement alors que je n'avais pas finis mon boulot. Je l'ai trainé par le t-shirt, je l'ai posé sur la chaise que tu vois par terre. Tout un dur travail qu'elle n'as pas respecté je l'ai mis difficilement débout sur la chaise puis quand je l'ai lâché elle c'est à moitié réveillé en ce penchant vers l'avant alors j'ai tout de suite retiré la chaise et là elle c'est immédiatement réveillé comme il le fallait pour ce rendormir définitivement les yeux ouvert. Tu sais ce qu'on dit quand on ce pend on ce décontracte tellement que l'on peux suriné et bien plus dessus, eh bien cela et vrai, d'où la sympathique odeur par ici. Je suis plutôt gentil je ne la ferais pas sentir de plus près. Mon nez a tellement coulais qu'il est impossible pour moi de sentir beaucoup de chose pourtant là je sent de multiples odeurs insupportables dont je me suis habituer. - J'ai essayé de faire durée le plaisir. Masami peux maintenant dormir paisiblement, avec l'idée de pouvoir vivre son homosexualité sans que tu la fasse souffrir. Tu t'imagine qu'elle serait morte à force, alors que là elle vis paisiblement ses attirances surnaturelle pour les femmes. -Elle n'était pas lesbienne. Il commence à rire en appuyant sur les I de son rire. -Tu es ridicule. Ce massacre ne dépend que de ça : une stupide histoire de sexe, non de sexualité ! Tu es coupable, meurtrier...
|
| | | MD1991Reine du host club Ogurinien
| Sujet: Re: [Fanfic] La dernière nuit de la faucheuse /!\déconseillé aux âmes sensibles/!\ Sam 5 Nov - 18:01 | |
| Chap 5 : Un coupable trop parfait - Spoiler:
Yuu ce mit contre le mur assis, serré sur lui même. Il est un peu plus calme que tout à l'heure, et Nagase n'as plus du tout le même regard sur cet homme peureux en face de lui. -Bon on ce détend un peu. lui dit Taichi doucement. - Tu es le seul survivant de ce massacre et tu me dis que ce n'est pas toi mais le visage, tu pourrais me le décrire ? Comment est il ? Il n'y a pas de réponse. - Te souviens tu des photos que je t'ai montré ? Tu la vu les tués ? Dis moi quelques chose sur lui et je pourrais prouvé ton innocence. Tu sais moi je veux t'aider mais si tu ne me dis rien je ne pourrais pas. Je sais que je me répète mais je veux que tu le comprenne. Il commence maintenant à ressortir les photos de son dossier. - Mon plus gros soucis est qu'il y a tout contre toi et si tu ne parle pas je ne peux pas t'aider. Dans peu de temps on va découvrir les empreintes laissé un peu partout, si il y a une autre ADN que la tienne et celle de tes amis on pourra éventuellement revoir ta culpabilité si tu ne me parle pas mais moi j'ai envie de te protéger, de te croire, pour ça il faut que j'en sache plus. Il met en évidence les photos pour lui même les regarder. - Tu as vu tout ces meurtres ce faire devant tes yeux ou tu les a vu après ? D'après le légiste ça commence par Kitagawa Keiko, ensuite Maruyama Ryuhei puis les meutres continue avec de plus en plus d'atrocité et une barbarie incroyable avec Shibutani Subaru, Ryo Nishikido puis ça ce finis avec Masami Nagasawa. L'homme crie dans les aigües de folie, puis met s'assois le corps appuyé contre le mur face à celui de gauche et Taichi pour faire entendre ça voix parle plus fort : - Tu as vu comment ça c'est passé ? Est-ce que tu l'as vu ? Nagase en regardant Yokoyama parle à son collègue : - Je suis content de voir que ta technique marche aussi bien que la mienne. Il ce tourne vers Taichi. - Tu aurais une feuille et un crayon à papier ? Bien-sûr qu'il en a, et les passe à Tomoya. Quand à Tomoya, il ce lève et ce rapproche du présumé coupable lui passe la feuille et le crayon. Cependant avant que l'inspecteur ne dise quelque chose une personne entre : - Enchanté Tatsuya Yamaguchi, il sers la main de Taichi, je serais pendant ces 48 dernières heures l'avocat commis d'office de messieurs Yuu Yokoyama, ensuite il tend la main devant Tomoya mais celui ci le regarde fixement et laisse ses mains dans sa poche. Ok, tant pis. Je vois que mon client ne devrait, pour le moment, même pas être interroger, vu qu'il n'est pas dans un état normal, je pense qu'il vous est obliger de repousser cet interrogatoire et de le ramener à sa cellule. Son client dessine rapidement, les yeux concentrais sur ce qu'il fait. Taichi frappe à la porte et un policier ouvre : - Vous pouvez le ramenez. Le policier récupère l'accuser, le laissant faire tombé son dessin presque terminé. Le policier et Yokoyama Yuu sorte en premier suivit de l'avocat, Kokubun attend son collègue qui s'accroupit pour récupérer le dessin derrière l'ancien interroger. Il ce relève, et partent enfin tout les deux fermant la porte derrière eux. Près de la machine à café. - Un dernier café avant d'aller dormir ? dit Taichi. - Je crois que j'en aurais besoin car j'irai pas dormir. - Tu vas voir qui ? - Ce mec ! Lui dit il en montrant le dessin. - Me dis pas que tu crois à ce qu'il dit ?! - J'ai un pressentiment, peut-être un instinct de flic. - Tu vas pas me faire croire qu'en 6 ans de carrière ton instinct ce reveil que maintenant, en plus pour un coupable aussi parfait. - Qu'est ce que tu veux que je te dise, il a pris son temps. - Et toi, tu perds le tien. - Peut-être...
|
| | | MD1991Reine du host club Ogurinien
| Sujet: Re: [Fanfic] La dernière nuit de la faucheuse /!\déconseillé aux âmes sensibles/!\ Ven 6 Jan - 8:13 | |
| Chap 6 : ami pour la vie - Spoiler:
- Te crois-tu important ? Tu crois qu'il t'aimais ? Est-ce qu'ils ce sont soucier de toi une seul fois ? Répond moi ! - C'est mes amis. - Et tu n'as rien fait pour eux! Tu les as vu mourir devant toi, tu n'as rien fait, tu as même oublier... - C'est mes amis, vous ne pouvez pas. - Non, c'était ! Il m'écrase la mâchoire avec la pomme des deux des mains en bloquant dans le même temps la bouche m'empêchent de respirer et les pousses sur la pomme d'Adam, l'écrasant le plus fortement possible. Je suis entrain de m'étouffer, j'avale ma langue, ça ne me tuera pas mais c'est extrêmement douloureux comme si c'était impossible de trouver de l'air pourtant j'essaye vivement d'en trouver mais jusqu'à ce qu'il me lâche c'est impossible. Il le fait enfin, il me lâche puis me gifle ensuite. Cette baffe, même violente, est superflue devant la douleur précédente. Je recherche encore mon souffle et tousse comme si je tenter de toute mes forces de sortir de l'air de mes poumons mais je n'y arrive pas, pendant quelques secondes j'ai l'impression que c'est pire. Pendant que je recherche mon souffle, il caresse la table qui est devant moi des bouts des doigts et tourne un peu au tour de manière désinvolte. - Tu sais que tu m'énerve légèrement à tout le temps me contre dire, mince alors! Il attrape quelque chose, qu'est ce que c'est ? J'ai tout le temps peur du pire. C'est un couteau ! Que pourrait il encore me faire ? Il donne des coups avec dans le vide mais à chaque coups qu'il donne j'ai des hallucinations. Le premier, j'ai des vision d'une lame qui transpercer fortement une poitrine, le deuxième du sang sur l'arme. Je remarque qui tiens fortement ce couteau qui me rappel quelque chose d'éprouvant et j'ai encore une hallucination, c'est le troisième coups ! la lame sort, du sang gicle. L'image que j'ai, est rapide mais répétitive... elle me hante! Pourquoi je vois ça ? Il lèche le sang, je vois seulement sa langue sur l'arme du bas en haut. Et j'ai l'apparition d'une giclée d'hémoglobine sur un bout de visage tremblant avec des yeux perçant grand ouvert, ceux d'un meurtrier... C'est le visage, ça ne peux qu'être lui ! - S'il vous plait, arrêtez. Qu'est ce que vous leurs avez fait? Arretez... Il met la lame près de mon nez, puis le colle dessus, m'étale du sang et me coupe en frôlant ma peau avec. - Qu'est ce que j'ai fait ?! Il rigole une nouvelle fois et moi, je ferme les yeux pour ne sentir ni la douleur ni l'odeur du sang. - J'ai inventer un nouveau jeu : la faucheuse. Après avoir vu que je saignais, il appui très fort sur ma blessure et met ce bout de rouge sur ses doigts sur ma narine près de la tache de sang qu'il avait déjà posé avec la lame. - Je vous déclare maintenant, il traine quelque chose de lourd par terre et l'emmène vers moi, amis pour la vie ... par le sang! - Maru ! Il rigole alors qu'il me montre mon ami en le tenant par les cheveux et entraine sa tête vers ma direction. - Du moins la vie, c'est un grand mot. Cette ordure le lâche brutalement en s'amusant encore de son jeu de mot, il commence même a m'imiter. - Maruuuuuuuu, oh non maru ! C'est triste, n'est ce pas ? mais tu sais, crier son nom ne le ramènera pas ! Regarde. Il reprend sa tête comme un bout de viande. - Maruuuuuuuuuu !Ca ne marche pas, tu vois! Il est définitivement mort. Il le lâche aussi vulgairement qu'il la pris. - I-NU-TI-LE ! Complètement I-NU-TI-LE. Même sa mort est sans intérêt, quoi que plus intéressante que sa vie... il a permis, tout de même, de donner quelque expérience a certains de tes amis! Tu te rend compte tout de même que c'est après lui que tout est devenu aussi palpitant. Il fait toute une gestuelle exagérer quand il parle - Je pense quand même que si il n'y aurait pas eu de couteau avec nous, il y aurait pu ne jamais avoir eu débordement. C'est pas que je voulais au départ, j'étais obligé, tu comprend ? C'était lui ou... - ...ou moi.... J'ai des centaines de vision pas assez claire pour que je l'ai comprennent qui me ronge. Qu'est ce qui ce passe ? - Je voulais pas dire ça ! - Si, tu as voulu ! Je l'ai choisi lui parce que tu L'AS voulu! Nous revenons toujours à la même chose, c'est TA faute ! - NON ! - SI...
|
| | | | Sujet: Re: [Fanfic] La dernière nuit de la faucheuse /!\déconseillé aux âmes sensibles/!\ | |
| |
| | | | [Fanfic] La dernière nuit de la faucheuse /!\déconseillé aux âmes sensibles/!\ | |
|
Sujets similaires | |
|
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |